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Cette association de droit suisse formée par un groupe de médecins s'est donnée pour vocation de faire connaître les possibilités thérapeutiques des ondes scalaires et des champs de torsion.
Nous vous présenterons tour à tour des explications scientifiques sur le phénomène des ondes scalaires, les divers appareils générateurs, les correcteurs d'état fonctionnels, les modes opératoires , les bilans de santé et les expérimentations pratiques . Nous sommes des praticiens chevronnés et expérimentés dans le domaine des médecines énergétiques et fonctionnelles.Nous utilisons les ondes scalaires en thérapeutique.

LE SWD
Le SWD (Scalar Wave Device) est sans conteste le plus évolué des générateurs. Mis en place par le prof. K. Meyl, il est de fait un appareil d'une grande fiabilité. Sa fréquence porteuse situées à 6,78 mHz le place dans l'émission scalaire très bien reçue par l'organisme humain.


Le Spooky 2 GX
Appareil très fiable facile à manipuler il est très efficace pour réaliser un biofeedback et surtout il est programmable. Appartemant à la famille des spooky il se connecte facilement avec d'autres générateurs comme le SWD à gauche, permettantainsi une modulation de l'onde porteuse.

Le NEUTRINO : VERS LA PHYSIQUE ET AU-DELÀ
Élaboré au milieu des années 1970 et enrichi depuis, le modèle standard est la pièce maîtresse utilisée en physique des particules pour expliquer les phénomènes observables à cette échelle et comprendre la structure de la matière. S’appuyant sur des découvertes opérées depuis plus d’une centaine d’années, ce modèle théorique organise et décrit les briques élémentaires (fermions) qui constituent la matière, et les modes d’interaction fondamentale qui les gouvernent. Il distingue douze fermions - six quarks et six leptons et leurs antiparticules de même masse mais de charge opposée –, répartis en trois familles, et des bosons qui orchestrent trois des quatre forces fondamentales de l’Univers – forte, faible et électromagnétique.
Si la majorité des résultats expérimentaux coïncide toujours avec ses principes théoriques, certaines imperfections se font patentes. Et depuis plusieurs années, les chercheurs et les chercheuses se sont lancées à la poursuite d’une nouvelle physique, au-delà du modèle standard. Dans leur quête, ils s’intéressent au neutrino, un lepton élémentaire encore très énigmatique mais dont la connaissance améliorée promet de révolutionner la perception de l’Univers.
De charge neutre et d’une masse au moins 465 000 fois inférieure à celle de l’électron, le neutrino fascine par sa singularité fantomatique : il interagit très peu avec la matière, un million de milliards de fois moins que l’électron, et uniquement par la force faible. Ce qui explique qu’il soit longtemps resté sous les radars. Générés massivement au coeur du Soleil, lors de cataclysmes cosmiques ou par les rayons cosmiques de l’atmosphère, les neutrinos voyagent sans faire de vague et chaque seconde, 65 milliards d’entre eux traversent chaque cm2 de la Terre et ses habitants, tel un passe-muraille.
Envisagée dès 1930 par les physiciens Wolfgang Pauli et James Chadwick, leur existence est prouvée en 1956 par les Américains Frederick Reines et Clyde Cowan qui pour la première fois les observent dans le rayonnement émis par un réacteur nucléaire : lors de la fission nucléaire, un noyau d’uranium se casse en deux plus petits noyaux, instables, qui retournent à la stabilité par l’émission de photons – c’est la radioactivité gamma – ou d’électrons et de neutrinos – c’est la désintégration bêta (β) avec émission de neutrinos.
Matthieu Vivier, chercheur au Département de physique des particules (DPhP – Univ. Paris-Saclay, CEA) Article publié le 12 aout 2021 Université Paris SACLAY